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| - [Source iMedia]
Après un tour de l'actualité, Romain Hussenot prend de la hauteur en donnant la parole aux journalistes de la rédaction et à divers experts pour une analyse pointue des grands dossiers du jour.
[Source Kantar Media]
- Le Débat - L'Affaire Bygmalion - Invités : Bruno Jeudy, rédacteur en chef du JDD ; Edouard Lecerf, directeur général de TNS Sofres ; Thomas Guénolé, politologue au Cevipof, prof à Sciences Po, auteur de "Petit guide du mensonge en politique"(First Documents) ; Frédéric Delpech, de LCI. -
- Me Maisonneuve, avocat de Bygmalion, assure que l'UMP était le donneur d' ordres de factures frauduleuses à hauteur de 10 millions d'euros pendant la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012.
- Interview sur BFM TV de Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean-François Copé, directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 : Il y a eu un dérapage sur le nombre d'évènements organisés dans le cadre de cette campagne.
- Retour plateau. R. Hussenot : Ni Jean-François Copé, ni Nicolas Sarkozy n'étaient au courant de ces fausses factures.
- B. Jeudy : L'affaire est grave car elle concerne les comptes de l'UMP et les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy. Il y aurait eu des fausses factures dans les deux cas.
- R. Hussenot : La Cour Constitutionnelle avait retoqué les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy pour un dépassement des 22 millions d'euros attribués aux partis. 10 millions d'euros viennent là s' ajouter aux 22 millions.
- B. Jeudy revient sur la collecte organisée par l'UMP auprès de ses militants.
- Il revient sur les dépenses de la campagne de Nicolas Sarkozy.
- T. Guénolé : Jérôme Lavrilleux est le paratonnerre. Il a dit que tout était vrai mais que ni Nicolas Sarkozy ni Jean-François Copé n'étaient au courant.
- B Jeudy fait le portrait de J. Lavrilleux.
- Citation : Bastien Millot.
- Le Débat - L'Affaire Bygmalion - Invités : Bruno Jeudy, rédacteur en chef du JDD ; Edouard Lecerf, directeur général de TNS Sofres ; Thomas Guénolé, politologue au Cevipof, prof à Sciences Po, auteur de "Petit guide du mensonge en politique"(First Documents) ; Frédéric Delpech, de LCI. -
- Interview de Me Patrick Maisonneuve, avocat de la société de communication Bygmalion : à la demande de l'UMP, Bygmalion a établi des factures à l'UMP alors qu'elles auraient dû l'être à l'association de financement de la campagne du candidat Nicolas Sarkozy en 2012. (
- Visuel : France Info, Europe 1, iTélé)
- Il s'agit bien de fausses factures.
- Retour plateau. E. Lecerf commente les conséquences de l' affaire Bygmalion et du vote FN aux européennes sur l'opinion.
- L' opinion voit Nicolas Sarkozy plus comme une victime que comme un coupable.
- Ce n'est pas du tout le cas pour Jean-François Copé.
- Commentaire de Thibault Henocque, au siège de l'UMP, où la perquisition est toujours en cours.
- Retour plateau. F. Delpech : l'affaire se rapproche de Nicolas Sarkozy. L'attaque vient des rangs de l'UMP et pas de la justice cette fois. Jérôme Lavrilleux laisse entendre que Guillaume Lambert, directeur de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, était probablement au courant. Il aurait été obligé de faire ces fausses factures à la demande de l'entourage de Nicolas Sarkozy.
- F. Lecerf : Nicolas Sarkozy bénéficie encore massivement du soutien de ses anciens électeurs.
- T. Guénolé : Une plainte collective des électeurs de droite envers l'ensemble des dirigeants de l'UMP est manquante pour irresponsabilité dans la gestion du parti.
- Il y a un problème de gouvernance du parti.
- B. Jeudy : L'UMP s'enfonce depuis l'élection truquée de novembre 2012. Depuis lors, chacun des barons joue pour lui.
- Citation : Alain Juppé, François Fillon.
- Le Débat - L'Affaire Bygmalion - Invités : Bruno Jeudy, rédacteur en chef du JDD ; Edouard Lecerf, directeur général de TNS Sofres ; Thomas Guénolé, politologue au Cevipof, prof à Sciences Po, auteur de "Petit guide du mensonge en politique"(First Documents) ; Frédéric Delpech, de LCI. -
- Interview de Jérôme Chartier, député UMP du Val d'Oise : Si Jean-François Copé montre qu'il était informé mais qu'il dit que ce n'était pas de sa faute, il estime qu'il ne pourrait pas rester à la présidence de l'UMP.
- Retour plateau. Un bureau politique de l'UMP a lieu demain.
- T. Guénolé : a priori, Jean-François Copé ne peut pas rester à la présidence de l'UMP. L'illégitime politique de la présidence de Jean-François Copé est abordée.
- F. Delpech : On peut difficilement comprendre comment Jean-François Copé pourrait se maintenir. François Baroin pourrait surgir pour le remplacer.
- B. Jeudy revient sur l'élection Copé-Fillon et l'impopularité de Jean-François Copé. François Fillon ne s'en est pas remis.
- Jean-François Copé ne lâchera pas la présidence comme ça.
- Jean-Pierre Raffarin va jouer un rôle clé.
- E. Lecerf revient sur les conséquences de l'affaire sur l'opinion.
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