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Contributor
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Publication history
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MediaResource
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Title
| - Les matins de France Culture : émission du 20 mai 2014
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Lead
| - Tranche horaire présentée par Marc VOINCHET, qui reçoit Vincent HUGEUX, grand reporter, et Raoul MBOG, journaliste à Slate Afrique pour évoquer la menace terroriste islamiste au Nigéria et l'enlèvement de lycéennes par Boko Aram.
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Duration
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Genre
| - Interview entretien
- Tranche horaire
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Keyword
| - Nigeria
- enlèvement
- femme
- terrorisme
- violence
- Boko Haram-Nigéria
- Orio, Joëlle(Nigériane, étudiante en chimie à Port Harcourt au Nigeria. Elle a signé la pétit)
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has producer
| - Radio France, 2014 (Producteur)
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Summary
| - - à 01:13'18 - Vincent HUGEUX, grand reporter au service monde de "L'Express" depuis 1990, spécialiste de l'Afrique et du Moyen Orient. Auteur de "Reines d'Afrique. Le roman vrai des premières dames" (Perrin) : fait le point sur l'enlèvement des lycéennes par Boko Haram au Nigéria. - à 01:15'20 - Raoul MBOG, journaliste à "Slate Afrique" : donne son avis sur les liens possibles entre BOKO HARAM et AQMI au Nigéria. - à 01:16'06 - Vincent HUGEUX : apporte des précisions sur le spectre de "l'internationale djihadiste" au delà de l'AQMI. - à 01:17'12 - Raoul MBOG : revient à l'origine de l'organisation BOKO HARAM. - à 01:19'01 - Vincent HUGEUX : fait état des personnes disparues ou enlevées depuis 2009, de Mohamed YUSUF fondateur de BOKO HARAM tué par la police nigériane en 2009, remplacé par Abubakar SHEKAU, de la méthode suivie. - à 01:21'38 - Adam NOSSITER, correspondant du "New York Times" en Afrique de l'Ouest (ITW téléphonique à Maiduguri au Nigeria) : rend compte de l'insurrection du groupe BOKO HARAM à Maiduguri et aux alentours. - à 01:23'37 - Vincent HUGEUX : apporte un commentaire par rapport à la situation décrite par Adam NOSSITER. - à 01:24'45 - Raoul MBOG : donne ses impressions sur la défense nigériane face à l'insurrection de BOKO HARAM. - à 01:26'36 - Vincent HUGEUX : l'économie du Nigéria. Deuxième partie - à 01:50'16 - Raoul MBOG : réagit à la fin de la chronique de Brice Couturier "Boko Haram, symptome du mal nigérian", "on ne réglera pas le problème au Nigéria s'il ne devient pas une nation". - à 01:52'40 - Vincent HUGEUX : le budget défense et sécurité au Nigéria. Apporte une nuance, à la chronique de Brice Couturier, à propos de l'enlèvement des jeunes filles par Abubakar SHEKAU forcées à se convertir à l'islam. Parle du projet de Mohamed YUSUF fondateur de BOKO HARAM. - à 01:55'24 - Raoul MBOG : apporte une autre réserve sur la chronique de Brice Couturier, sur l'objectif de BOKO HARAM. - à 01:56'53 - Geneviève GARRIGOS, présidente d'Amnesty International France, (ITW téléphonique) : parle de la condition des femmes au Nigéria, de l'impunité par rapport aux violences faites aux femmes. - à 01:58'42 - Raoul MBOG : donne son avis sur les violences faites aux femmes "sur le continent africain et ailleurs". - à 02:02'01 - Les tensions entre chrétiens et musulmans, l'impact de l'enlèvement des jeunes filles dans les relations intercommunautaires au Nigéria. - à 02:04'42 - Vincent HUGEUX : fait part des ses observations sur la mobilisation au Nigéria, sur la réaction des autorités et du président sur la mobilisation contre le "narcissisme dément d'Abubakar SHEKAU". - à 02:07'03 - Raoul MBOG : la réaction du président du Cameroun Paul BIYA. - à 02:07'52 - Vincent HUGEUX : s'interroge sur la collaboration entre le président nigérian Goodluck Jonathan et son homologue camerounais Paul BIYA au "Sommet pour la sécurité" au Nigeria dans la lutte contre BOKO HARAM. - à 02:09'04 - Raoul MBOG : la nécessité du "Sommet pour la sécurité" et la difficulté de mettre en place une action concertée. - à 02:10'55 - Joëlle Orio, Nigériane, étudiante en chimie à Port Harcourt au Nigeria. Elle a signé la pétition "Bring back our girls" (ITW téléphonique) : livre ses impressions sur la situation des jeunes filles enlevées, par BOKO HARAM, qui doit "alerter tout le monde".
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Producer summary
| - L'éducation occidentale est interdite par la religion ». Telle est la traduction littérale du nom du mouvement islamiste Boko Haram fondé en 2002 par Mohamed Yusuf. Boko Haram est responsable de l'enlèvement, le 14 avril, de 276 lycéennes nigérianes dans leur lycée de Chibok, au Nord du Nigéria. Depuis, dans les journaux, sur les écrans de télévisions, sur la toile, fleurissent des images de people, de politiques de tous bords et d'anonymes brandissant des pancartes « Bring Back Our Girls », « rendez-nous nos filles ». Cette mobilisation planétaire met en lumière la situation alarmante d'un pays en proie au terrorisme. L'écrivain nigérian Chinua Achebe qualifiait son pays de « doué, incroyablement riche en talents et totalement incontrôlable ». Première puissance économique africaine, le Nigéria est aussi rongé par la corruption. Influent sur la scène régionale et internationale, le Nigéria fait pourtant face à une menace terroriste grandissante.
Alors que se tenait le 17 mai un mini-sommet à l'Elysée sur la sécurité du pays auquel participait notamment le Cameroun, le Tchad, le Niger ou encore le Bénin, comment le Nigéria peut-il faire face à cette menace terroriste qu'incarne Boko Haram ? La crise actuelle est-elle le résultat d'un appareil étatique défaillant ? Quel a été le rôle du mouvement « Bring Back Our Girls » dans les prises de décisions récentes ? Que peut faire la communauté internationale ?
Pour répondre à toutes ces questions nous recevons ce matin Vincent Hugeux, grand reporter au service monde de L'Express depuis 1990, spécialiste de l'Afrique et du Moyen Orient et Raoul Mbog journaliste à Slate Afrique.
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Identifier
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