[Source Maison de la poésie]
Résumé : Davoir sans fin affaire aux mots, de ne jamais pouvoir en faire léconomie, la littérature ne peut éviter de saffronter aux diverses formes de ce quon appelle dordinaire le crédit : elle en dépend pour partie et elle ne cesse den parler, elle en vit et peut même en mourir. Il en va sans doute de même de la philosophie. Lune et lautre se doivent de tout mettre en uvre pour éviter la gratuité ou lescroquerie, de montrer ce qui les assigne à cette tâche interminable.