Keyword
| - Alves, Guy
- Cesari, Eric
- Copé, Jean François
- Front national-France
- Lavrilleux, Jérôme
- Le Pen, Marine
- Millot, Bastien
- Parlement européen
- Sarkozy, Nicolas
- UMP-France
- Union européenne
- abstention
- campagne électorale
- courant politique(euroscepticisme)
- délit(favoritisme)
- entreprise(Bygmalion)
- financement
- parti politique
- politique intérieure
- résultat de vote
- scandale politique
- vie politique
- élection européenne
- élection présidentielle(2012)
|
Producer summary
| - [Source Kantar Media] :
- Affaire Bygmalion - UMP : Jérôme Lavrilleux reconnait le dérapage des frais de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012. Invités : Maurice Szafran ; Eric Brunet.
- Commentaire Eric Brunet sur l'émotion de Jérôme Lavrilleux, un proche de Copé. Sarkozy voulait faire des meetings, il fallait financier. Le budget autorisé par la loi était explosé. Il pose la question des autres partis, du PS.
- Maurice Szafran : là il y a s'agit de l'UMP. PS : il y a eu l'affaire Urba. Le vrai directeur de campagne c'était Lavrilleux : pression de Nicolas Sarkozy. Il dit qu'il n'a pas informé Jean-François Copé ou Nicolas Sarkozy. Sarkozy : il avait peur. Copé : il y a des doutes. Copé et Lavrilleux sont très proches. Il cherchait à protéger Jean-François Copé.
- Commentaire Eric Brunet. Lavrilleux est un combattant redouté au sein de l' UMP. Débat sur les fausses factures, les deux comptes. Bygmalion dit avoir fait ce qu'on leur a demandé. Débat.
- Commentaire sur les propos de l'avocat de Bygmalion.
- Commentaire sur le bureau politique de l' UMP demain, la possible gouvernance de transition, la mise sous la touche de Jean-François Copé, la gouvernance d'anciens premiers ministres, souhait de François Fillon.
- Edition spéciale "affaire Bygmalion". Invités : Olivier Faure : Thomas Guénolé. Chroniqueur : Thierry Arnaud. Maitre Maisonneuve, avocat de Bygmalion, a évoqué des fausses factures pour dissimuler des dépenses de campagne de Nicolas Sarkozy. Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean François Copé reconnait qu'il a commis l'erreur de ne pas dire stop.
- Interview de Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean François Copé : il explique ce qui s'est passé. Il prend sa part de responsabilité. Il n'était pas directeur de campagne. Il n'a pas eu le courage de dire stop. Il a fait part de son sentiment. Il n'en a fait part ni à Nicolas Sarkozy, ni à Jean François Copé. Il évoque son avenir politique. Il n'a jamais fait de politique pour s'enrichir. Il a adhéré au RPR en 1989 car il n'avait pas supporté que sa ville passe aux mains des communistes. Il n'y a eu aucune malversation, aucun payement en liquide. Les fonds étaient ceux de l' UMP. L' engrenage était irrésistible.
- Retour plateau.
- Olivier Faure : Jérôme Lavrilleux est un bon soldat. Il a les épaules bien larges ce soir. Le dépassement des comptes de campagne atteint 50%. Il ne croit pas à la version de Jérôme Lavrilleux. Il tente de protéger d'autres personnalités. Il a cherché un allumé un contre feu avant le bureau politique de demain matin. Jérôme Lavrilleux est le bras droit de Jean François Copé. Il rend hommage à son courage.
- Retour sur les déclarations de Jérôme Lavrilleux.
- Thierry Arnaud : il y a une vraie cohérence entre les propos de Patrick Maisonneuve et ceux de Jérôme Lavrilleux. Il dit n'avoir jamais informé Nicolas Sarkozy ou le président de l' UMP. Présentation de la pratique en cause.
- Thomas Guénolé : Jérôme Lavrilleux a casé un mensonge dans sa séquence émotion. Il a dit que les prestations facturées avaient existé. Pierre Lellouche a dit qu'il n'avait jamais participé à un meeting auquel il aurait du se trouver.
- Thierry Arnaud : les conventions n'existent pas mais le travail de Bygmalion existe.
- Thomas Guénolé : Jean François Copé doit démissionner de la présidence de l' UMP.
- Reportage de Damien Fleurot. Les policiers de la brigade financière de Nanterre mènent toujours une perquisition au siège de l' UMP. Jean François Copé est arrivé sur place 45 minutes plus tard. Brice Hortefeux , Guillaume Larrivé et le directeur de cabinet de Jean François Copé à Meaux sont sur place. L'entourage de Nicolas Sarkozy dément les propos tenus par Jérôme Lavrilleux.
- Retour plateau.
- Thierry Arnaud : l'explication devrait être vigoureuse demain au bureau politique de l' UMP. Jean François Copé devrait défendre la thèse de Jérôme Lavrilleux et de Patrick Maisonneuve. Jean François Copé dit tout ignorer de cette histoire. Les critiques devraient être vives. Chaque risque de jouer un peu "perso".
- L'avocat de la société Bygmalion, maitre Maisonneuve, a évoqué un système mis en place à la demande de l' UMP pour dissimuler des dépenses liées aux meetings du candidat Sarkozy en 2012.
- Déclaration de Patrick Maisonneuve : il n'y a eu ni surfacturation, ni rétrocommission, ni enrichissement personnel. A la demande de l' UMP, Bygmalion a établi des factures qui ont été imputées à l' UMP alors qu'elles auraient du l'être à la campagne du candidat Sarkozy.
- Olivier Faure : Jean François Copé est disculpé par son bras droit. Il se demande pourquoi il a mis sous scellé les comptes de l' UMP. L'affaire relève maintenant de la justice.
- Thierry Arnaud : cette affaire donne une image déplorable de la politique. Les résultats aux élections européennes marque une forme de rejet de la politique. Le FN et les populistes en profitent.
- Thomas Guénolé : il fustige l'irresponsabilité collective des responsables de l' UMP. Ils font n'importe quoi depuis deux ans.
- Elections européennes : François Hollande s'est exprimé depuis l' Elysée.
- Déclaration de François Hollande : il faut de la constance, de la ténacité, du courage et de la rapidité. Les institutions françaises sont solides.
- François Hollande s'exprimera demain depuis Bruxelles.
- Olivier Faure : François Hollande a voulu acter un résultat. Il était logique qu'il s'exprime ce soir. Il a assumé son cap et les efforts qu'il demande à la France. Il ne s'agit pas que d'élections. Il s'agit de redresser le pays. L' Europe doit mieux préparer l'avenir.
- François Hollande est revenu sur son pacte de responsabilité et sur sa réforme territoriale.
- Olivier Faure : François Hollande cherche à démontrer qu'il y a une articulation logique entre les efforts demandés et l'austérité demandée par l' Europe.
- Angela Merkel a remporté le scrutin en Allemagne.
- Thierry Arnaud : l'intervention de François Hollande était inutile. Il aurait du dire les choses franchement. Il aurait du évoquer les baisses d'impôts. La politique de François Hollande ne produit pas d'effets concrets pour les Français.
- Thomas Guénolé : la France a 4 dettes qui arrivent à échéance. La dette publique, la dette privée, la dette sociale et la dette écologique.
- Edition spéciale Elections européennes - François Hollande est intervenu au lendemain des élections européennes.
- Commentaire d'Adrien Geindre.
- Déclaration de François Hollande, Président de la République : Les priorités sont la croissance, l'emploi et l'investissement. L'Europe est devenue illisible et lointaine.
- François Hollande a réaffirmé la feuille de route du Gouvernement Valls : pacte de responsabilité, baisse d' impôts et réforme territoriale.
- Retour plateau.
- Interview de Louis Aliot, vice-président du FN, député européen.
- Retour plateau.
- Interview d'Olivier Faure, député PS de Seine-et-Marne, porte-parole du PS.
- Retour plateau.
- Commentaire de Thierry Arnaud, chef du service politique de BFM TV.
- Edition spéciale Affaire Bygmalion - Invités : Maurice Szafran, journaliste et écrivain ; Eric Brunet, essayiste.
- L'avocat de Bygmalion, Me Patrick Maisonneuve, évoque des fausses factures pour dissimuler des dépenses de campagne de Nicolas Sarkozy.
- Interview de Me Patrick Maisonneuve, avocat de Bygmalion : des fausses factures ont été faites à la demande de l' UMP. (
- Visuel : France Info, Europe 1).
- Retour plateau.
- Interview de Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet du président de l'UMP Jean-François Copé, ancien directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy : la facturation des évènements a permis de ventiler les dépenses qui auraient dû être sur le compte de la campagne électorale.
- Ni Jean-François Copé, ni Nicolas Sarkozy n'étaient au courant.
- Il n'y a eu dans cette affaire aucune malversation, aucun paiement en liquide. Les fonds proviennent de l'UMP.
- Retour plateau.
- Commentaire de Ruth Elkrief, sur l'interview de Jérôme Lavrilleux.
- Jean-François Copé était une cible depuis l'élection contestée à la présidence et depuis que Le Point et Libération ont sorti des factures.
- Retour plateau. Commentaire de Damien Fleurot, devant le siège de l' UMP, où se tiennent des perquisitions, tout comme au siège de Bygmalion. La perquisition par les policiers de la brigade financière de Nanterre dure depuis 5h au siège de l'UMP.
- Le bureau politique de demain matin est abordé. Le départ de Jean-François Copé va sûrement être exigé.
- Retour plateau. L'ex-trésorier de Nicolas Sarkozy, Philippe Briand, conteste la version de l'avocat de Bygmalion.
- E. Brunet commente l' interview de Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean-François Copé et ancien responsable de la campagne de Nicolas Sarkozy.
- M. Szafran : le vrai directeur de campagne était Jérôme Lavrilleux. Nicolas Sarkozy voulait toujours plus de meetings. Il pense que Jérôme Lavrilleux n' a pas informé Nicolas Sarkozy, mais il n'y croit pas concernant Jean-François Copé.
- E. Brunet : Jérôme Lavrilleux a dit ne pas avoir tiré la sonnette d'alarme pour ne pas interrompre la campagne de Nicolas Sarkozy.
- On parle de meetings de campagne qui ont été imputés à deux comptes.
- M. Szafran : On est dans un cas de fausses factures. L'opération de com est au profit de Bygmalion, qui explique ce soir avoir fait ce qu'on leur a demandé.
- E. Brunet : Le crime de l' UMP est d'avoir ventilé après les élections.
- Le bureau politique de l'UMP aura lieu demain.
- E. Brunet : il y aura probablement une gouvernance de transition.
- M. Szafran : Jean-François Copé sera mis sur la touche avec la gouvernance de quelques vieux anciens Premiers ministres.
|