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Contributor
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Publication history
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Title
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Lead
| - Reportage de Sara GHIBAUDO sur l'affaire Bygmalion.
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Duration
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Genre
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Keyword
| - Copé, Jean François
- Sarkozy, Nicolas
- UMP-France
- campagne électorale
- délit(favoritisme)
- entreprise(Bygmalion)
- financement
- parti politique
- scandale politique
- vie politique
- élection présidentielle(2012)
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has producer
| - Radio France, 2014 (Producteur)
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Summary
| - Reportage de Sarah Ghibaudo. A 1' itw de Pierre LELLOUCHE, député UMP de Paris : on a volé mon nom, il n'y a jamais eu de conventions, l'autre vol c'est l'argent qu'ont donné les adhérents. A 1'20 itw de Jean-François COPE le 15 mai : "Il y a eu des conventions organisées, ça sera mis à disposition de l'enquête". et le 21 mai :"Je n'accepte pas les allégations ignobles faites contre un trésor de guerre". A 2'15 itw de Patrick MAISONNEUVE, l'avocat de Bygmalion : ce sont des fausses factures, des prestations qui auraient dû être facturées au financement de la campagne du candidat alors qu'elles l'ont été indûmment à l'UMP. On a demandé à Bygmalion de procéder ainsi sinon ils n'étaient pas payés. A 2'50 itw de Jérôme LAVRILLEUX, directeur de cabinet de Jean-François Copé à l'UMP : "Quand vous êtes pris dans un engrenage de campagne... le reproche que je me fais c'est que j'ai pas eu le courage de dire stop on va dans le mur. J'ai fait part de mon sentiment à certaines personnes qu'on aurait du mal à boucler tout ça, je n'ai pas été entendu. J'en ai fait part ni à Jean-François Copé ni à Nicolas Sarkozy, mon travail c'était de protéger mon patron" (40"). A 4'40 Itw d'Eric HALPHEN, ancien juge et président de l'association Anticor : déplore le fait qu'il n'y ait aucun contrôle physique des comptes. Avec des fausses factures on peut payer des salles des affiches car ça n'apparait pas sur les comptes de campagne.
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Producer summary
| - [Source site internet de France Inter]
Le bureau politique de l'UMP ce mardi s'annonce houleux. L'avocat de la société de communication Bygmalion a lâché une bombe, hier, en accusant l'UMP de fausses factures pour masquer les dépassements de frais de campagne de Nicolas Sarkozy. Ce qu'a reconnu Jérôme Lavrilleux, bras droit de Jean-François Copé et ex-directeur adjoit de la campagne de 2012.
La société Bygmalion, au coeur de l'enquête sur des malversations présumées à l'UMP en 2012, a été soumise à "un chantage" pour établir des fausses factures d'un montant de 11 millions d'euros afin de masquer les dépassements de frais de campagne de Nicolas Sarkozy, a annoncé lundi son avocat.
Me Patrick Maisonneuve a affirmé que plusieurs meetings du président sortant avaient été indûment facturés sous l'intitulé "conventions" pour "un montant approximatif de 11 millions" d'euros.
Les factures étaient "imputées à l'UMP, alors qu'elles auraient dû l'être à l'association de financement de la campagne du candidat, M. Sarkozy, en 2012" pour "éviter des dépassements probablement de comptes de campagne".
- Lavrilleux reconnaît des montages financiers
Jérôme Lavrilleux, ex-directeur de campagne adjoint de Nicolas Sarkozy en 2012, a reconnu lundi des montages financiers de l'UMP afin de masquer une "dérive" des dépenses de campagne en 2012, mais il a assuré que le président sortant et Jean-François Copé n'étaient en rien mêlés à cette affaire.
"Il n'y a eu aucune malversation, il y a eu un engrenage irrésistible d'un train qui file à grande vitesse et les personnes qui auraient dû tirer le signal d'alarme ne l'ont pas fait", a dit sur BFM TV le bras droit du président de l'UMP, précisant qu'il n'était pas "seul dans le wagon".
Les dépenses de campagne de Nicolas Sarkozy ayant "explosé" dans une proportion "beaucoup plus importante que le volume autorisé", il a été procédé à "une ventilation des dépenses liées à la campagne sur d'autres opérations", a-t-il expliqué, reconnaissant de fausses facturations sans en prononcer le nom.
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