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Title
  • Les séquelles chimiques de la guerre 14-18
Lead
  • Frédéric BARREYRE accueille Béatrice DUGUE, auteure d'une enquête sur les séquelles chimiques de la première guerre mondiale. Les opérations de déminage posent de graves questions environnementales.
Duration
Genre
  • Magazine
  • Reportage
Keyword
  • Première Guerre mondiale
  • arme chimique
  • environnement
  • pollution
  • pollution de l'eau
  • bombe
  • obus
has producer
  • Radio France, 2014 (Producteur)
Summary
  • Itw de Michael BELOT, anc. démineur de Lorraine : quels sont les types de munition retrouvés sur les anciens champs de bataille de la guerre 14-18 en Lorraine. Itw d'Eric BONNER, membre de l'association Meuse Nature Environnement : donne les résultats d'une étude faite par l'université de Mayence sur les traces de la guerre 14-18 dans les sols de la Meuse. Il y a une contamination à l'arsenic et aux métaux lourds. Itw de Guy MONPERE, membre du centre de déminage de Metz, et de Michael BELOT : la ligne de front est un tas de ferraille enfouie. Ils détaillent les types de pollution du sol. Itw de Daniel DUBOT, troisième adjoint au maire de Champneuville (Meuse) : raconte comment un employé de la mairie a découvert un obus dans un champ de la commune. En vieillissant, les obus sont de plus en plus dangereux. Itw de Daniel LEFORT, maire de Champneuville : décrit une photo de son village en 1916. "C'est lunaire ; il n'y a plus aucune construction de plus d'un mètre de haut." Itw de Bernard STOUFFLET, membre de Meuse Nature Environnement : il n'y a pas de mort subite par rapport aux pollutions générées par la présence d'armes dans le sol. Mais la présence de métaux lourds s'accumule et contamine sols et eaux. Itw de Jackie BONNEMAIN, membre de l'association écologiste Robin des Bois : il était d'usage après la guerre d'immerger les munitions chimiques. Itw d'Albert DAPRA, chef du projet Secoia chez Airbus Défense and Space : présente le programme Sécoia qui a pour but de détruire les armes de la guerre 14-18.
Producer summary
  • C'est un aspect oublié de 14-18. Les millions de tonnes d'obus tirés pendant 4 ans - il y a un siècle - imprègnent encore les terres du Nord et de l'Est de la France. Munitions classiques, explosives, mais aussi munitions chimiques. Cette empreinte va marquer notre environnement pour longtemps encore. Pourtant à la fin de la guerre, des centaines de milliers d'hectares de champ de bataille ont été neutralisés, dans cee qui a été baptisée la zone rouge. Les terres cultivables ont été rendues assez vite aux cultivateurs, dans les années 20, par nécessité et impuissance. Ils reste donc des millions de munitions enfouies avec tous leurs déchets métalliques. Moins de 2% des obus de la guerre 14-18, étaient chimiques. Sur des millions, ça fait beaucoup quand même. 100 ans après, ces engins ne sont toujours pas traités aujourd'hui en France. Une usine est même en construction à Mailly le Camp.
Identifier
  • 5912323_001
dct:publisher
  • INA-LD
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