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| Contributor
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| Publication history
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| Title
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| Lead
| - Interview politique de Jean-François COPE, président de l'UMP, menée par Marc FAUVELLE, la journaliste Roselyne FEBVRE, (France 24) et le journaliste Henri VERNET (Le Parisien Aujourd'hui en France), pour évoquer l'actualité, notamment les élections européennes, les réformes annoncées par François Hollande et la situation à l'UMP.
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| Duration
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| Genre
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| Keyword
| - France
- Hollande, François
- Lavrilleux, Jérôme
- Poutine, Vladimir
- Russie
- République fédérale d'Allemagne
- UMP-France
- Ukraine
- Union européenne
- réforme
- référendum
- région
- élection européenne
- défense nationale
- département
- temps de travail
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| has producer
| - Radio France, 2014 (Producteur)
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| Summary
| - Itw de François HOLLANDE, chef de l'Etat, sur RMC : "je n'ai rien à perdre... ce qui compte c'est que le pays ait tout à gagner" (5"). A 1'45" invité Jean-François COPE, président de l'UMP : la phrase incompréhensible du chef de l'Etat, la pugnacité de l'opposition en raison du vide de sa politique, le décrochage de la France depuis deux ans et ses conséquences, la modernisation des autres pays européens, son inquiétude, les trois outils constitutionnels du président de la République, le projet économique de l'UMP et la suppression des trente-cinq heures, le changement en profondeur nécessaire dans les six premiers mois d'un quinquennat en agissant par ordonnance, l'extrême détresse des Français, la modération salariale selon les entreprises et la réduction des charges sociales, l'augmentation considérable des impôts et des charges par les socialistes ; la réforme territoriale pour sauver le Parti socialiste, l'atteinte aux droits démocratiques, sa proposition de fusion des conseils généraux et régionaux qui serait une économie et la conservation des régions, sa demande que cette réforme passe par voie référendaire ; le référendum en Ukraine, l'absence de rôle de médiateur de la France dans cette affaire et le rôle que devrait avoir le président français, l'absence d'initiatives de la France, la mauvaise santé du couple franco-allemand, la responsabilité de François HOLLANDE dans le décrochage de la France en Europe ; l'opacité des décisions du président et du Premier ministre et le risque que la Défense soit la variable d'ajustement alors qu'il ne faut pas la sacrifier ; la ligne majoritaire sur l'Europe à l'UMP, la nécessité que les règles soient les mêmes pour tout le monde et sa préconisation d'harmonisation fiscale et sociale au sein de la zone euro, la réforme des accords de Schengen ; l'enlèvement de jeunes filles au Nigéria par des islamistes ; la caricature faite de lui ; "Jérôme LAVRILLEUX c'est quelqu'un de remarquable... je suis très attaché à mes amis... " A 15'40" itw de Marielle de SARNEZ, vice-présidente du MoDem : ne comprend pas la droite sur la réforme territoriale demandée depuis longtemps (20"). A 31'35" itw de Xavier BERTRAND, député UMP de l'Aisne, sur Europe 1 : la préparation de mesures secrètes de coupes budgétaires importantes sur le budget de la Défense nationale (30").
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| Producer summary
| - En direct sur France 24
Jean François COPE
[Source site internet de France Inter]
Jean-François Copé : "50 milliards d'économies, ce n'est pas assez"
Le président de l'UMP était l'invité de Tous Politiques, une émission co-animée par Marc Fauvelle de France Inter, et Roselyne Febvre de France 24, en partenariat avec Le Parisien. Jean-François Copé a notamment fustigé la division par deux du nombre de régions pônée par le gouvernement.
Pour le patron de l'UMP, cela reviendrait à créer "un État fédéral", "une autre République". Il est donc "inacceptable" que les Français ne soient pas consultés par référendum.
"C'est un véritable coup de force. Et on veut le faire sans référendum, c'est-à-dire qu'on va changer de modèle républicain, passer quasiment à un État fédéral avec onze régions qui seraient de vrais contre-pouvoirs et on ne va pas demander aux Français ce qu'ils en pensent, alors que ce n'était pas dans le programme électoral de M. Hollande. C'est inacceptable. "
"La France décroche"
Par ailleurs, Jean-François Copé estime que le plan d'économies de 50 milliards d'euros présenté par Manuel Valls n'est "pas suffisant". "50 milliards, ce n'est pas assez. À l'UMP, nous proposons 130 milliards". Objectif : assainir les finances du pays et rattraper nos voisins européens "qui avancent", alors que "la France décroche".
Le rôle du président ? "L'omniprésence diplomatique"
Interrogé sur la crise ukrainienne, le président de l'UMP, a regretté que la France ne joue pas "le rôle de médiateur que le monde attend".
Enfin, Jean-François Copé affirme que le couple franco-allemand, auquel il se dit "très attaché", ne fonctionne pas. "Pour qu'il fonctionne, les deux pays doivent avoir le même niveau de développement économique. Or, ce n'est pas le cas", conclut-il.
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